Parasites capte les fréquences d’un monde en tension. Ici, on ne diffuse pas le bruit du pouvoir, on le dissèque. Les flux, les structures, les inerties systémiques : tout est matière à questionner, à déconstruire. Pas de mythe du progrès, pas d’illusion de l’équilibre, juste les rapports de force à nu. On traverse le langage standardisé, on repère les nœuds du contrôle, on cartographie les angles morts. Ce n’est pas une antenne, c’est un prisme, un espace où le capital n’est plus une évidence mais une construction mouvante, contestable, destructible.